Toutes les substances n’agissent pas de la même façon pour les filles et les garçons. Avec de plus une courbe dose-effet qui semble être en forme de U inversé pour l’exposition aux PFOS, PFHpS et PFDA pour les filles, et pour l’exposition aux PFDA et PFNA pour les garçons.
Aussi toutes les substances sont associées à un développement pubertaire précoce chez les filles, alors que chez les garçons, PFHxS et PFHpS ont un effet précoce et l’exposition au PFDA et PFNA retarde le début de la puberté.
Ce qu’on peut donc retenir c’est que l’effet des perturbateurs endocriniens dépends à la fois du moment de l’exposition de la mère, mais aussi du sexe du bébé.