Ce cas montre que les perfluoralkylés peuvent avoir des effets non monotones, c’est-à-dire que des doses faibles sont plus associées à des fortes troubles par rapport à des doses plus hautes (relation dose-effet caractéristique des perturbateurs endocriniens). Cela signifie qu’on ne devrait pas se concentrer sur la dose, mais peut etre sur d’autres paramètres pour caractériser cette substance, comme par exemple la période d’expositions la plus "sensible" (fenetre de sensibilité), suite à laquelle il est plus probable d’avoir des dommages