Question sur : Cas des fongicides SDHI En réponse à :

Sujet : Cas des fongicides SDHI

R�pondu le dimanche 13 décembre 2020 par Ould Ahmed Ouamer

Le cas particulier des SDHI, me révèle que : la toxicologie réglementaire, d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires, représentent des bas-côtés et des barrières, vis-à-vis de la gestion des risques liés aux pesticides. Ce qui remet en cause les autorisations (syndrome de l’autruche : le décalage entre ce que nous savons avec des placements du CNRS sur les SDHI "on observe, on quantifie, mais on ne décide pas", et les gestes que nous sommes prêts à poser est immense. Le cas particulier des SDHI, des enjeux de toxicologie générale, confirme cet effet d’autruche et me révèle aussi ; la coexistante d’une idéalisation de la dénasalisation de la vertu des pesticides inhibiteurs de la Succinate Désydrogénase (un fongicide singulier). Toutefois, un fongicide singulier, ayant pour fonction : la limitation de respiration de certaines moisissures, et parfois des champignons. Pour autant aussi, la capacité de toxicité (son activité visant l’inhibition des substances protéiniques nécessaire dans la respiration d’une cellule) . Néanmoins, Le volet prospectif récent, des études du Centre National de Recherches Scientifique, montre que la substance est mortifère ; une substance mortifère, non interdite ! En clair, le cas particulier des SDHI révèle une absence de conscience collective (commune et solidaire) dans la santé publique par : l’absence de synergie, de corrélations et de concordance rationnelle dans chacune des parts impliquées, même s’agissant d’une risque hautement identifie " la mort".


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