Oui, car le xénobiotique A, en activant les enzymes de phase I, agit dans le sens de potentialisation de la toxicité de B : souvent, les processus métaboliques, augmentent la toxicité des xénobiotiques. Aussi, la flore microbienne intestinale peut déterminer la biotransformation des certains xénobiotiques et les rendre plus toxiques (ex amines en nitrosamines cancérigènes).