Les organes internes fortement irrigués atteignent généralement la plus forte concentration toxique dans le temps le plus court ; de même, l’état d’équilibre entre ces organes et le sang est atteint plus rapidement. La captation des toxiques par les tissus moins perfusés est plus lente, mais la rétention y est plus forte et la durée de séjour plus longue (accumulation) en raison de la faible perfusion.