Voici les arguments établit cité dans les extraits pour la période en 1977 :
Pas organisme chargé de l’évaluation des risques professionnels pas même lINRS qui est une structure de droit privé.
Le Conseil supérieur de prévention des risques professionnels et du Conseil d’hygiène publique de France n’ont pas demandés de fait une étude auprès d’experts.
La recherche s’appuie sur les études internationales, ce qui était malheureusement moins le cas dans les années 1970.
Le Centre international de recherche sur le cancer, qui est une émanation de l’OMS est sur ces questions, de même que les réunions d’experts au niveau européen.
Le chef d’entreprise a le responsable de la sécurité des travailleurs.
Dans les années 1970, le seul risque de l’amiante était la fibrose pulmonaire, l’asbestose, caractérisée par des insuffisances respiratoires en cas d’inhalation à haute dose de poussières d’amiante.
La diffusion et la poursuite de ces travaux se sont faites progressivement - encore une fois, nous partions de doses extrêmement importantes - et ont abouti à ce que, à la fin des années 1970, ces travaux soient jugés suffisamment convaincants pour que l’effet cancérigène pour l’homme soit reconnu pour la France en 1976 - inscription au tableau des maladies professionnelles - et par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 1977, soit un an après la France.
A l’époque, vu la prise de conscience des autorités publiques sur l’ampleur de présences de produits toxiques et produits cancérigènes dans toutes les milieux (entreprises, particuliers). Cette mesure d’interdiction est-elle vraiment utile de prendre cette décision pour la protection de la population (les consommateurs, les utilisateurs et les salariés des risques) ? Mais l’interdiction amène à un risque malgré les protections, vient les années à venir vis-à-vis de la période de dose à effet.