Les arguments principaux semblent basés sur l’ignorance des effets cancérigènes à l’époque. Il est précisé qu’à l’époque aucun consensus scientifique n’a pu se dégager sur les valeurs limites d’exposition. Et la supposition que des doses faibles ne présentaient pas de risques, que les précautions et protection lors de la manipulation suffisait à protéger..