Le domaine de l’amiante ne se prête pas à une bonne gestion par un organisme paritaire parce que d’abord les Etats ne s’entendent pas sur l’insertion de l’amiante chrysotile dans la liste de veille des échanges commerciaux internationaux. Les gouvernements ne s’étant pas mis d’accord lors de la conférence, sur la convention de Rotterdam, organisée par le PNUE et la FAO en fin 2006.
Exemple du Canada, premier exportateur de ce produit avec 40%, qui avance que l’amiante chrysotile n’est pas dangereuse pour la santé là où un consensus international sur le sujet dit que le produit est cancérigène et tue au moins 90000 personnes par an dans le monde.