Ce problème est particulièrement difficile à résoudre parce que les eaux superficielles des stations d’epuration regorgent de traces de traces de substances médicamenteuses appartenant à une quarantaine de classes thérapeutiques. De même toutes les substances présente dans les boues des stations d’épurations pouvaient être transférés à l’homme après épandage sur les sols via les plantes alimentaires et ou les animaux d’élevage. Le dilemme qui se pose aux pouvoirs publics est que aucune STEP ne sont pas actuellement en mesure de faire disparaitre ces médicaments et qu’ils n’ont pas les moyens de faire pression sur le lobby pharmaceutique pour faire reconnaitre leur responsabilité et les contraindre à trouver les moyens de pallier à ce fait en subventionnant des recherches pour rendre plus performant les STEP.