les UIOM constituent des solutions à la problématique des déchets solides. Ainsi elles permettent une élimination des décharges sauvages qui constituent une source de nuisance avec des odeurs nauséabondes, et de prolifération d’agents pathogènes. Mais l’application des normes européennes, les anciennes usines par la quantité de polluants qu’elles émettent dont les dioxines ont provoqué le développement de plusieurs pathologies, le plus souvent des cancers au sein des populations riveraines.c’est pourquoi les nouvelles installations ont hérités cette image négative de ces anciennes usines et se heurtent à la psychose des populations des populations généralement soutenu par les élus qui se heurtent souvent aux autorités administratives. le droit d’implantation est octroyé à la suite d’étude de risques d’impacts sanitaires qui n’ont pas encore pu en mettre un lieu entre les faibles doses dioxines et le développement des cancers. cependant on pourrait attribuer cette méfiance des populations à tout nouveau projet d’implantation dune UIOM couramment qualifié de syndrome de NIMBY, à une méconnaissance des normes en vigueur et les process d’élimination de ces ordures. Puisque la plupart des riverains les plus plus proches de ces sites sont contre leurs déménagement et affirment n’est pas être gênés par ces activités.
Mais vu le caractère persistant et bioaccumulables des dioxines ainsi que leurs potentialités de se fixer sur les colloïdes du sol et les effets possibles à long terme, ne devrait-on prendre au sérieux la réticence de certains riverains ?