L’étude ne retient pas les coûts liés à la gestion à long terme des déchets, faute d’une connaissance scientifique suffisante. Elle tient compte en revanche des coûts liés aux accidents (centrales en fonctionnement, transport des combustibles, etc.) et au stockage à court moyen terme de ces déchets. Elle privilégie les impacts sur la santé liés aux divers rejets. Ses résultats sont sans aucun doute beaucoup plus fiables pour l’électricité produite avec des combustibles fossiles que pour l’électricité d’origine nucléaire. Le problème de la gestion à long terme des déchets radioactifs est abordé de façon assez succincte.