Les limites principales de l’étude ExternE :
Sur l’étude (95) il s’agit d’une mauvaise estimation (sous-estimation) de la valeur de la vie humaine ce qui conduit à une sous-estimation du cout externe du CO2 par la méthode des dommages
Sur l’étude (98), la limite provient de l’utilisation de valeur moyenne pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition. Ce faisant, on néglige les possibilités d’accumulation ponctuelles et momentanées de polluants et leur conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement.