La limite principale des 2 études tient à l’utilisation de valeurs moyennes pour la concentration en polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Cela néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées (ou de pics) et leurs conséquences éventuelles sur la santé et l’environnement (exemple : potentiels épisodes respiratoires aïgus pour des pics de NO2 ...etc)