Considérant que qu’une valeur aux biens et services environnementaux est mesurée à l’aide des préférences individuelles, il est évident que dans les études de type « coûts-bénéfices » de la réduction des pollutions pris individuellement seraient plus crédibles en tenant compte que l’utilitarisme amène chaque individu à maximiser sa propre utilité conduisant ainsi au maximum de bien-être pour la totalité.
En effet, les individus expriment leurs préférences par leur consentement à payer des biens et services environnementaux sur un marché (effectif ou fictif) et la valeur d’un bien ou service environnemental n’est alors fonction que de l’usage effectif et direct qui en est fait par l’individu.