Ce type d’analyse sous estimerait les effets car il néglige la possibilité d’accumulations ponctuelles et momentanées et les
conséquences éventuelles à la fois sur la santé et l’environnement. Ses limites proviennent principalement de l’ utilisation de valeurs moyennes pour la concentration des polluants dans les modèles de transmission et d’exposition.
Néanmoins, il faut considérer la prudence systématique des études, qui se traduit par le choix répété des valeurs les plus élevées pour les dommages.