Il introduit le biais d’inclusion car il existerait de synergies entre les différentes formes de pollution. Il faut souligner que c’est une solution théorique. Mais elle est difficile à mettre en œuvre. Elle suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes. Il s’agit d’une hypothèse forte. En effet on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants