Ces différences sont issues du fait que les individus sont moins attirés par une "perte" que par un gain équivalent. Le CAP pour réduire les risques de maladie issue d’une pollution sera donc souvent plus réfléchi et donc plus précis que le CAR. De plus le CAR est souvent associé à une base de volontariat à s’exposer ou non à ce risque en échange d’une rétribution donc à des choix liés à des facteurs psychologiques plus complexes.