Il semble qu’un calcul de consentement à "payer" ne permette pas d’obtenir le même résultat qu’un calcul de consentement à "recevoir" : les questions posées aux individus ne sont pas les mêmes et donc on ne se représente pas le problème sous le même angle, on n’y réfléchit pas de la même manière, ce qui affecte la réponse des personnes interrogées. Pour des raisons psychologiques et peut être culturelles, les réponses varient suivant qu’on s’imagine qu’il faille plutôt payer ou plutôt recevoir.