Il existe des différences entre les résultats d’un consentement à payer et d’un consentement à recevoir car le consentement à payer est perçu comme une transaction (un "échange de bons procédés" : je donne tant pour ne pas être malade) alors que le consentement à recevoir est perçu comme une perte de jouissance (j’accepte de prendre le risque d’être malade, donc de potentiellement renoncer à une partie de mon bien-être, mais il faut me donner tel montant). Le consentement à recevoir sera donc très souvent supérieur au consentement à payer.