Ce fait est facilement explicable pour la raison que les gens sont moins préoccupés pour un rhume, qui, en général, engendre très peu de problèmes, plutôt que pour une maladie respiratoire chronique, surement plus grave et déterminante du point de vu de la santé, économique, du travail et de perte de bienêtre à long terme pour l’individu et ses proches.
Ils sont, donc, disposés à payer pour diminuer le risque d’occurrence d’un tel genre de pathologie mais pas tellement pour diminuer e risque d’occurrence d’un rhume, qui ne provoquera, dans tous les cas, des conséquences graves.