Les répondants, si l’on en croit le tableau, ne considèrent que les maladies graves. Car celles-ci perturbent leurs activités normales (travail, école, loisirs, jours passés au lit). Vu que le rhume n’impact pas leurs activités et que son traitement est à un faible coût, les répondants sont sensible aux maladies respiratoires aigües et chroniques que le rhume.