L’accroissement du CAP est la traduction par l’individu de sa prédisposition à éviter qu’un dommage arrive. Cela suppose donc que la réduction du bien-être associée à ce dommage est élevée. Les dommages associés au rhume (effets faciles à supporter pour l’individu et pour sa société, coût des médicaments très faibles) étant plus faible que les dommages provoqués par les maladies respiratoires, une telle réduction ne peut qu’être constatée pour le rhume.