Chaque répondant, pour déterminer son CAP pour éviter le renouvellement d’un épisode pathologique, se rappelle les symptômes entraînés, si cette maladie a perturbé ses activités normales (travail, jours d’incapacité), s’il a perdu des revenus et s’il a effectué des dépenses pour enrayer la maladie.
Dans le cas d’un rhume, chaque élément composant la gêne entraînée est bien moindre que pour une maladie chronique. Le répondant a développé des symptômes qui ne l’ont pas empêché d’accomplir ses activités normales, qui ne lui ont pas fait perdre de revenus ni entraîné de dépenses d’automédication ou de médecin conséquentes. Le CAP pour éviter le renouvellement d’un rhume est donc fortement réduit par rapport à une maladie chronique grave.