Les interviewés sont moins sensibles aux effets du rhum (ils ne sont pas prêts à payer le CAP pour l’éviter), car c’est une maladie passagère, moins grave, elle ne les empêche pas de faire leurs activités quotidiennes et ne nécessite pas une prise en charge médicale coûteuse qu’aux effets des autres maladies (asthme, bronchite par exemple) qui sont plus grave, plus contraignantes que ce soit pour les travailleurs qui les obligent d’arrêter le travail pour ou pour les autres de payer très cher les frais médicaux