Cela s’explique par des effets d’accoutumance dans certains pays où le rhume est presque banalisé, ce qui fait que les personnes sont moins sensibles à ses effets. Dés lors, il n’est pas surprenant qu’ils soient disposer à payer moins pour éviter la maladie.
Plus les personnes sont éduquées, plus elles prennent conscience des enjeux sanitaires de la pollution de l’air et font une nette corrélation entre qualité de l’air et affections respiratoires et la variation de morbidité qu’elle entraîne.