On peut associer un haut niveau de formation avec une meilleure connaissance des pathologies respiratoires et de leurs conséquences, d’où un CAP plus élevé ; un haut niveau de formation est aussi logiquement associé à des rémunérations plus élevées, d’où des pertes de revenus en cas de congés-maladie plus élevées se répercutant sur le CAP à la hausse, enfin des dépenses de santé occasionnées par l’épisode de maladie éventuellement plus élevées, jouant également dans le même sens sur le CAP.