Plus les personnes sont éduquées, plus elles prennent conscience des enjeux sanitaires de la pollution de l’air et font une nette corrélation entre qualité de l’air et affections respiratoires et la variation de morbidité qu’elle entraîne. En plus, plus le niveau de formation est élevé, plus la rémunération des individus est élevée, ce qui fait qu’ils tendent à valoriser davantage les journées perdues pour raison de maladies.