Le CAP croît avec le nombre d’année de formation. Ceci peut s’expliquer par le fait que plus les répondants sont scolarisés plus ils comprennent la relation exposition/effets et mieux ils estiment les conséquences de ces effets du point de vue sanitaire, monétaire, psychologique. Ainsi ils donnent priorité à toute action visant à réduire la pollution atmosphérique dans leur région, d’où l’élévation de leur CAP. Cette compréhension du phénomène n’est pas évidente pour les non scolarisés mais croît avec le nombre d’années de formation.