Les participants à l’étude n’habitant pas Taipei résident soit dans une ville industrielle, où la pollution est peut-être perçue comme banale et faisant partie du quotidien, d’où un CAP plus bas, soit dans une ville non polluée, où les pathologies respiratoires seront moins fréquentes et/ou moins graves, d’où un CAP inférieur. On peut aussi penser que le fait d’habiter la capitale est globalement associé à un niveau d’étude plus élevé (cf question précédente).