Dans un extrait du rapport parlementaire, il est clairement relevé que : « plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte... ». Il y a une certaine crainte pour les "personnes nantis ", dans la perte de leur revenu et pour cela, ces derniers n’hésitent pas à financer la prévention des maladies passagères ou chroniques.