Le consentement à payer est probablement proportionnel avec les moyens que l’on a.
De plus, pour les personnes à faible revenus, la gestion d’un budget se fait au jour le jour, il n’y a pas de projection dans l’avenir l’hypothèse de survenue de la maladie ou de décès prématuré est moins envisagé que les personnes à haut revenus qui peuvent économiser, se projeter etc.