Cette question est capitale car elle évoque un problème majeur celui des inégalités sociales et territoriales de santé. Les personnes précaires n’ont pas de moyens nécessaires ni pour vivre dans les capitales du monde ni pour se soigner convenablement et demeurent aussi insuffisamment sensibles et informées des principes et gestes de prévention....
Il est donc normale qu’une personne diplômée ou qui dispose d’une bonne et solide formation aura plus de chances d’avoir un travail valorisant et mieux rémunéré que celle qui n’a pas de diplôme.
Aussi, et plus qu’une personne possède un "bon travail", plus elle est sensible à tous les risques qui pourraient affecter son mode et niveau de vie, et donc disponible pour dépenser un peu de son argent pour contribuer à la prévention de ces risques...