Ce chiffre corresponde à presque 50% la population totale estimée comme potentiellement concerné par l’exposition intérieure, il existait donc une évidence appelant à l’action pour la protection de cette population. Le CPA a gère avec démagogie la situation et tandis que le niveau d’exposition dépassait largement le seuil d’action proposé en 1990, il n’y a eu que des recommandations faites, mesures bien discrètes par rapport au risques postérieurement corroborés par les études épidémiologiques.