L’action publique a été très lente entre les conclusions du rapport de 1994 qui évoquait le lien entre l’augmentation du nombre de cancer des poumons et la présence de l’amiante environnemental utilisé par la population locale dans leur habitation, et le suivi véritable des populations en 2001.
Il aurait été plus utile de recaser les habitants dans un autre site non contaminé par l’amiante. De même, en plus des consignes écrites aux populations, il aurait fallut mettre en place un comité ou une cellule de suivi afin de s’assurer de leur application effective par la population.