Encore une fois, les actions publiques sont beaucoup trop lentes par rapport à l’ampleur de ce désastre sanitaire. Pourquoi les actions publiques n’ont-elles pas été menées en 1997, lors des études épidémiologiques ? Par ailleurs, pourquoi communiquer par écrit à des populations appartenant à des tribus qui communiquent souvent oralement ? Sont-elles suffisamment éduquées ?
En conclusion, j’aurais agi plus rapidement dès 1997, en détruisant les maisons à risques, j’aurais communiquer oralement, comme la tradition des populations locales.