La réaction de la santé publique a été très lente. En effet, des risques réels ont été mis en évidence suite à la mission de 1994 et le suivi des populations s’est effectué à partir de 2001 tandis que la la destruction des habitats à risque ont réellement eu lieu en 2005.
On peut également dire que l’action, en plus d’être lente, n’est pas la meilleur qui soit. Au lieu de distribuer des consignes écrites pour se protéger aux différentes tribus qui n’ont au final que peu d’impact car ne sont pas lues…, il aurait été préférable si possible de faire une « réunion » où l’on expliquerait les dangers, les consignes, etc , et où il y aurait une interaction (ex : question –réponse) avec un « représentant » de chaque tribu qui sensibiliserait par la suite sa tribu. Ainsi cette communication serait plus efficace.