L’action publique a été un peu tardive. En 1997 et 1998, les données sur l’exposition au pö sont connues. Normalement, à cette année-là, des actions devraient être entreprises. Or c’est 7 ans après que la décision pour la destruction des habitats a été prise. La communication avec les populations basée sur des consignes écrites n’est pas adaptée. Il aurait fallu des campagnes de sensibilisation avec des séances publiques et doit s’accompagner d’une éducation sanitaire visant au contrôle des facteurs de risque associés aux maladies respiratoires. Enfin, face aux risques, les mesures et des moyens robuste doit être employés.