Les pouvoirs publics avaient suffisamment d’éléments sur la situation dés 1997 et donc d’agir et prendre des mesures pour intervenir sur celle-ci depuis cette année et ne pas attendre 4 années pour enfin rédiger de simples consignes écrites.
Par ailleurs,les pouvoirs publics auraient pus opter pour une communication orale qui elle favorise le contact direct et une bonne compréhension des messages que plutôt de promulguer de simples consignes écrites qui restent parfois non comprises de tous et non accessibles au plus grand nombre.
De même, la nature et le contexte de ce risque nécessitaient de prendre des mesures de fonds, permettant de réduire le risque à la source comme : proposer des solutions de un relogement provisoire pour les populations exposées, prescrire des procédés techniques, permettant ainsi de fixer l’amiante et limiter ainsi ses effets indésirables sur la santé des populations….