L’action publique a été très mauvaise : retard de l’action, puisque les habitats sont détruits des années plus tard après la mise en évidence du danger qu’il présente, l’inadaptation et l’incomplétude de la communication aux populations exposées, qui si elles avaient été mieux informées, auraient pu d’une manière ou d’une autre se prémunir de certains risques. Des mesures plus appropriées auraient par exemple pu comprendre une évacuation immédiate des populations de leurs habitats, un suivi plus précoce, la mobilisation de divers acteurs locaux : représentants de la population, associations locales, ONG, pour venir en aide aux populations et participer à la communication.