Les résultats de l’enquête épidémiologique ont été publiés en 1997, l’action publique aurait donc pu être beaucoup plus rapide.
De plus, étant donné le niveau de risque, les mesures de gestion aurait dû être plus radicales. La transmission d’informations écrites à des tribus parait inappropriée, les informations auraient dû être données à l’oral. La destruction des habitations aurait dû commencer immédiatement, et le recouvrement des murs par des enduits et peintures systématique.