1- Le suivi des populations aurait du commencer plus tôt ;
2- Les consignes écrites sont insuffisantes. Il aurait fallu de réelles campagnes de sensibilisation avec des séances publiques avec la mise à contribution des associations, des ONG et autres organisations de la société civile ;
3- Les permis de construire peuvent déjà intégrer des dispositions pour empêcher l’usage de trémonite sur les nouveaux bâtiments pour cela, il fallait légiférer plus tôt ;
4- Intégrer des mesures coercitives pour l’interdiction de l’usage de trémolite ;
5- La destruction des habitats à risque pouvait démarrer plus tôt sous le contrôle des autorités compétentes.