Déjà depuis 1991 U88 de l’INSERM notifiait un excès de décès par mésothéliome en faveur d’une exposition d’origine environnementale. En 1997 les craintes étaient confirmées par les résultats des enquêtes épidémiologiques par l’INSERM et de ce fait les pouvoirs publics auraient dû à partir de cette date entamer une intervention énergique.
On parle de tribus donc à priori de communication orale aussi il aurait fallu adapté le mode de communication par rapport à ce contexte plutôt que de manière systématique distribuer des consignes écrites.
Par rapport à la destruction des habitats à risque qui n’a véritablement commence qu’en 2005 et vu la dangerosité de l’exposition des actions correctives radicales auraient dû être menées plutôt que du genre relocalisation des populations et sinon trouver des solutions palliatives pour limiter le risque en immobilisant l’amiante par la peinture