Dans cette affaire, les pouvoirs publics ont réagis beaucoup trop tardivement. En effet, le suivi des populations n’a réellement commencé qu’au début des années 2000 et la destruction des habitats comportant des risques n’a eu lieu quand 2005. Cela semble surprenant quand on sait que les résultats alarmant des études et enquêtes menées ont été publiés dès 1997. Pourquoi l’Etat n’a-t’il pas réagi tout de suite ? Les pouvoirs pulbics ont clairement négligé cette affaire, avec toutes les conséquences que cela a pu entrainer pour les populations touchées. Des mesures auraient du être appliquées dès la révélation des résultats, en voici quelques exemples :
déplacer les familles pour les éloigner des zones à risques et les reloger provisoirement dans des lieux adéquats
entamer la décontamination et/ou la déstruction totale des habitats touchés
délimiter ces zones à risques et y interdire l’accès
mieux comuniquer avec les populations et ne pas se contenter de leur faire part des risques par écrit