tout d’abord on peut remarquer le retard pris par les autorités publiques pour agir .
Tout en estimant que les solutions proposés restent insuffisantes.
communication avec les parties intéressés ( avec une implication des ONG ) sur le terrain par des réunions ,exposé,avec participation aux prises de décision semblerait plus transparente et par conséquent plus convaincante
mettre en application des lois et instances qui controlent et régissent le secteur de construction
identification par des cartographies des zones à risques
La destruction des habitats peut également etre étudié sans exposé l’entourage à des poussiéres probablement contaminés .