L’action publique suppose que les populations sont capables de gérer elles mêmes les risques en respectant les instructions. Mais la perception des populations du risque est différente et sa réaction face au risque ne se caractérise que s’il est associé à un danger imminent. Or dans le cas des maladies cancérigènes le temps de latence est trop long.
Pour améliorer la sécurité des populations on aurait préconisé les mesures suivantes :
• Informer la population de la situation et du risque encouru pour gagner sa collaboration,
• Décontamination des milieux à risque et si nécessaire démolition des bâtiments,
• Supprimer les sources de contamination issue des dépôts de débris,
• Entamer des études pour caractériser les dangers liés à l’exposition environnementale.