Les auteurs ont insisté sur l’exposition précoce au DDT par rapport au risque étudié à cause du développement des hormones reproductives liés à la tranche d’âge adolescence - puberté. Les enzymes de métabolisation du DDT présents pendant cette période dans l’organisme féminin bouleversent la mise en place du cycle hormonale devant influencer le développement des glandes mammaires.