Les auteurs ont insisté sur l’exposition précoce au DDT par rapport au risque étudié car les précédentes études ne se sont pas penchées sur l’impact de l’exposition pendant les périodes critiques de sensibilité : la vie fœtale, l’adolescence mais aussi le début de la vie reproductive.
Ils se sont orientés dans cette direction car de précédentes études sur d’autres risques comme, par exemple, l’exposition à la bombe atomique, aux rayonnements, ont montré que les répercussions étaient plus fortes au cours de ces intervalles de sensibilité.