Le risque étudié c’est le cancer du sein qui résulte à une perturbation endocrinienne , et les auteurs ont insisté sur la période précoce puisque c’est la période « sensible » de début de développement et de maturation de la glande mammaire, comme hypothèse donc cette exposition à jeune âge génère l’accumulation de la substance toxique dans les tissus adipeux mammaire, suivie par une perturbation hormonale et conduit au déclenchement de l’effet cancérigène .