Cette épreuve confirme a priori l’hypothèse que l’exposition au DDT dans l’enfance et l’adolescence pourrait augmenter la susceptibilité de la poitrine aux effets du DDT. Parce que le DDT a été d’abord utilisé largement en 1945 aux États-Unis, l’âge, en 1945, a été utilisé comme un proxy pour le plus jeune âge où une femme aurait pu être exposée. Des niveaux sériques élevés de p, p′-DDT, une médiane de 17 ans avant le diagnostic, a prédit une augmentation de 5 fois le risque de cancer du sein chez les femmes qui sont nées après 1931. Ces femmes étaient âgées de <14 ans en 1945, l’année où le DDT est entré en recours généralisé aux États-Unis. Ces femmes auraient été pour la plupart <20 ans quand l’utilisation du DDT a atteint son apogée. Les femmes qui n’ont pas été exposées à des p, p′-DDT avant l’âge de 14 (nés en 1931 ou plus tôt) et qui aurait été> 27 ans au moment où l’utilisation du DDT a atteint un sommet, n’ont pas montré de risque accru de cancer du sein en fonction des niveaux de p, p’-DDT dans le sérum. p, p′-DDT métabolite lipophile conservé le plus, peut-être due à un métabolisme plus lent, est le facteur de risque sous-jacent pour le cancer du sein dans cette population. Les effets des expositions environnementales varient selon que l’exposition se produit durant les périodes critiques de développement mammaire (in utero, pendant la puberté ou pendant la grossesse).