Ces substances s’accumulent dans les cellules lipidiques (graisseuses), comme celles du sein, où elles persistent pendant des décennies.
Le DDT montre in vitro mais aussi sur les modèles animaux comme le rat une stimulation des cellules mammaires via l’activation des récepteurs aux hormones oestrogéniques. Il est à noter que le produit de dégradation du DDT, le DDE, n’est pas oestrogénique mais plutôt anti-androgénique (http://www.mdrgf.org/victime/victime-pesticides-professionnels-etudes-cancer.html)
puisque ces matieres ont un organe cible et ceci c’est les cellules lipidiques du sein pendant l’adolesence et l’enfance puis le development et la maturite de ces glandes et hormones c’est normal qui sont lies au cancer du sein